Gli Scritti di Maria Valtorta

51. Marie envoie Jude inviter Jésus aux noces de Cana.

51. Maria manda Giuda Taddeo

51.1

Je vois la cuisine de Pierre. En plus de Jésus, il y a Pierre, sa femme, Jacques et Jean. On dirait qu’ils viennent de finir de dîner ; ils conversent. Jésus s’intéresse à la pêche.

André entre et dit :

« Maître, il y a ici l’homme près duquel tu habites, avec quel­qu’un qui se dit ton cousin. »

Jésus se lève et va vers la porte en disant :

« Qu’ils entrent. »

Et quand, à la lumière de la lampe à huile et à la clarté du foyer, il voit entrer Jude, il s’écrie :

« Toi, Jude ?

– Oui, Jésus », et ils s’embrassent.

Jude est un bel homme, dans la plénitude de la beauté virile. Grand, bien que pas autant que Jésus, fort et bien proportionné, brun comme l’était saint Joseph lorsqu’il était jeune, le teint olivâtre sans être terreux, des yeux qui ont quelque chose de commun avec ceux de Jésus, car ils sont d’une couleur bleue qui tend vers le pervenche. Sa barbe, de forme carrée, est brune, ses cheveux sont ondulés, moins bouclés que ceux de Jésus, et bruns comme la barbe.

« J’arrive de Capharnaüm. J’y suis allé en barque, puis j’ai continué jusqu’ici de la même façon, pour faire plus vite. Ta Mère m’envoie te dire : “ Suzanne se marie demain. Je te prie, mon Fils, d’assister à cette noce. ” Marie y sera, et avec elle ma mère et les frères. Toute la famielle est invitée, tu serais le seul absent et eux, les parents, te demandent de faire plaisir aux époux. »

51.2

Jésus s’incline légèrement en ouvrant un peu les bras.

« Le désir de ma Mère est pour moi une loi, mais je viendrai pour Suzanne aussi et pour nos parents. Seulement… cela m’ennuie pour vous… » ; il regarde Pierre et les autres. « Ce sont mes amis », explique-t-il à son cousin. Puis il les nomme en commençant par Pierre. Et en dernier lieu, il dit : « Et celui-là, c’est Jean » en y mettant un ton particulier qui attire le regard plus attentif de Jude et fait rougir le disciple bien-aimé. Il termine la présentation ainsi :

« Mes amis, voilà Jude, fils d’Alphée, mon frère cousin selon la façon de parler du monde, car il est le fils du frère de l’époux de ma Mère. C’est pour moi un ami, un bon compagnon de travail et de vie.

– Ma maison t’est ouverte, comme au Maître. Assieds-toi. »

Se tournant vers Jésus, Pierre ajoute :

« Alors nous ne viendrons plus avec toi à Jérusalem ?

– Bien sûr que si, vous viendrez. Je m’y rendrai après les noces. Seulement je ne m’arrêterai plus à Nazareth.

– Tu fais bien, Jésus, parce que ta Mère est mon hôte pendant quelques jours. Entendu comme cela, et elle aussi viendra après les noces. »

C’est ce que dit l’homme de Capharnaüm.

« Alors voilà ce que nous allons faire : avec la barque de Jude, je vais aller maintenant à Tibériade et de là à Cana, et c’est toujours avec elle que je reviendrai à Capharnaüm avec ma Mère et toi. Le jour qui suivra le prochain sabbat, tu viendras, Simon, si tu y es toujours décidé, et nous irons à Jérusalem pour la Pâque.

– Bien sûr que je viendrai. Et je viendrai aussi le sabbat pour t’entendre à la synagogue.

51.3

– Tu enseignes déjà, Jésus ? demande Jude.

– Oui, mon cousin.

– Et quelles paroles ! Ah ! On ne les entend pas dans une autre bouche ! » explique Simon.

Jude soupire. La tête appuyée sur la main, le coude sur le genou, il regarde Jésus et soupire. Il semble vouloir parler et n’ose pas.

Jésus l’interpelle :

« Qu’as-tu, Jude ? Pourquoi me regardes-tu en soupirant ?

– Rien.

– Non, il y a quelque chose. Je ne suis plus le Jésus que tu aimais, celui pour qui tu n’avais pas de secrets ?

– Oh si, tu l’es, et comme tu me manques, toi, le Maître de ton cousin plus âgé…!

– Alors ? parle.

– Je voulais te dire… Jésus… sois prudent… tu as une Mère… qui n’a que toi… Tu veux être un “ rabbi ” pas comme les autres et tu sais mieux que moi que… que les castes puissantes ne per­mettent pas des choses contraires aux coutumes qu’elles ont établies. Je connais ta façon de penser… elle est sainte… Mais le monde, lui, n’est pas saint… et il accable les saints… Jésus… Tu connais le sort de ton cousin Jean-Baptiste : il est en prison, et s’il n’est pas encore mort c’est parce que cet ignoble Tétrarque a peur de la foule et des foudres de Dieu. C’est un sale type, superstitieux, et en même temps cruel et libertin… Toi… Que feras-tu ? Au-devant de quel sort veux-tu aller ?

– Jude : tu me demandes cela, toi qui connais si bien ma pensée ? Ces paroles viennent-elles de toi ? Non. Ne mens pas ! On t’a envoyé me dire ces choses… et ce n’est sûrement pas ma Mère. »

Jude baisse la tête et se tait.

« Parle, mon cousin.

– C’est mon père… et avec lui Joseph et Simon… Tu sais… pour ton bien, par affection pour toi et pour Marie… ils ne voient pas d’un bon œil ce que tu te proposes de faire… et… et ils voudraient que tu penses à ta Mère.

51.4

– Et toi, qu’en penses-tu ?

– Moi… moi…

– Tu te débats entre les voix d’en haut et celles de la terre. Je ne dis pas “ et celles d’en bas ”, je dis celles de la terre. Jacques aussi, et plus encore que toi. Mais moi je vous dis qu’au-dessus de la terre, il y a le Ciel, au-dessus des intérêts du monde, il y a la cause de Dieu. Vous avez besoin de changer votre façon de penser. Quand vous y arriverez, vous serez parfaits.

– Mais… et ta Mère ?

– Jude, il n’y a qu’elle qui aurait le droit de me rappeler à mes devoirs de fils, selon les lumières terrestres : c’est-à-dire à mon devoir de travailler pour elle pour subvenir à ses besoins matériels, à mon devoir d’assistance et de réconfort, en restant auprès d’elle. Or elle ne me demande rien de tout cela. Dès le moment où elle m’a eu, elle a su qu’elle devrait me perdre, pour me retrouver dans une dimension plus large que celle du petit cercle de la famille. Dès lors, elle s’y est préparée.

Cette volonté absolue de don de soi à Dieu n’est pas une nouveauté, dans son sang. Sa mère l’a offerte au Temple avant même qu’elle ne sourie à la lumière. Elle m’a parlé une quantité innombrable de fois de son enfance sainte, quand elle me serrait sur son cœur durant les longues soirées d’hiver ou dans les claires nuits d’été où fourmillent les étoiles. Elle s’est donnée à Dieu dès les premières lueurs de l’aube de sa venue au monde. Et elle s’est encore davantage donnée quand elle m’a eu, pour être là où je suis, sur le chemin de la mission qui me vient de Dieu. Une heure viendra où tous m’abandonneront. Ce sera pour peu de minutes, mais la lâcheté vous dominera tous et vous penserez qu’il aurait mieux valu, pour votre sécurité, ne m’avoir jamais connu. Mais elle, qui a compris et qui sait, restera toujours avec moi. Et vous, vous reviendrez à moi grâce à elle. Par la force de sa foi assurée et aimante, elle vous attirera en elle et vous ramènera ainsi en moi, parce que je suis en ma Mère et elle en moi, et nous en Dieu.

Cela, je voudrais que vous le compreniez, vous tous, mes parents selon le monde, mes amis et mes fils au point de vue surnaturel. Toi et les autres avec toi, vous ne savez pas qui est ma Mère. Si vous le saviez, vous ne la critiqueriez pas dans votre cœur de ne pas savoir me tenir assujetti à elle, mais vous la vénéreriez comme l’Amie la plus intime de Dieu, la Puissante qui peut tout sur le cœur du Père éternel et sur le Fils de son cœur. Bien sûr que je viendrai à Cana ! Je veux lui faire plaisir. Vous comprendrez mieux après cette heure-là. »

Jésus est imposant et persuasif.

Jude le regarde attentivement. Il réfléchit. Il dit :

« Moi aussi, c’est certain, je viendrai avec toi et avec eux, si tu veux de moi… car je sens que tu dis des choses justes. Pardonne mon aveuglement et celui de mes frères. Tu es tellement plus saint que nous…

– Je n’ai aucune rancœur envers ceux qui ne me connaissent pas. Je n’en ai pas non plus envers ceux me haïssent. Mais j’en souffre pour le mal qu’ils se font à eux-mêmes.

51.5

Qu’est-ce que tu as dans ce sac ?

– Le vêtement que ta Mère t’envoie. C’est une grande fête, demain, et elle pense que son Jésus en aura besoin, pour ne pas détonner au milieu des invités. Elle a filé sans relâche depuis le point du jour jusqu’à tard le soir, chaque jour, pour te préparer ce vêtement. Mais elle n’a pas fini le manteau. Il manque encore les franges. Elle en est toute désolée.

– Ce n’est pas la peine. J’irai avec celui que j’ai et je garderai l’autre pour Jérusalem. Le Temple est encore plus important qu’une fête de mariage.

– Elle en sera heureuse.

– Si vous voulez être à l’aube sur la route de Cana, dit Pierre, il vous faut partir tout de suite. La lune se lève et la traversée sera bonne.

– Alors allons-y. Viens, Jean. Je t’emmène avec moi. Simon-Pierre, Jacques, André, adieu. Je vous attends le soir du sabbat à Capharnaüm. Adieu, femme. Paix à toi et à ta maison. »

Jésus sort en compagnie de Jude et de Jean. Pierre les suit jusqu’au rivage et aide à la manœuvre et au départ de la barque.

Et la vision prend fin.

51.6

Jésus dit :

« Quand le moment sera venu de faire un travail ordonné, la vision des noces de Cana sera insérée ici. Mets la date (16-1-44). »

51.1

Vedo la cucina di Pietro. In essa, oltre a Gesù, vi è Pietro e la moglie, e Giacomo e Giovanni. Sembra che abbiano finito allora la cena e stiano conversando fra loro. Gesù si interessa della pesca.

Entra Andrea e dice: «Maestro, vi è qui l’uomo presso il quale stai, con uno che si dice tuo cugino».

Gesù si alza e va verso l’uscio dicendo: «Vengano avanti»; e quando, alla luce della lucerna ad olio e della fiamma del focolare, vede entrare Giuda Taddeo, esclama: «Tu, Giuda?!».

«Io, Gesù».

Si baciano. Giuda Taddeo è un bell’uomo nella pienezza della bellezza virile. Alto, sebbene non quanto Gesù, ben proporzionato nella sua robustezza, bruno, come lo era S. Giuseppe da giovane, di un olivastro non terreo e con occhi che hanno qualcosa di comune con quelli di Gesù, perché sono di una tinta azzurra, ma tendente al pervinca. Ha barba quadrata e bruna, capelli mossi, meno a ricciolo di quelli di Gesù, bruni come la barba.

«Vengo da Cafarnao. Vi sono andato con una barca e qui pure sono venuto con essa per fare più presto. Mi manda tua Madre; dice: “Susanna è sposa domani. Io ti prego, Figlio, di essere a queste nozze”. Maria vi prende parte e con Lei la madre mia e i fratelli. Tutti i parenti vi sono invitati. Tu solo saresti assente, ed essi, i parenti, ti chiedono di far contenti gli sposi».

51.2

Gesù si inchina lievemente, aprendo un poco le braccia, e dice: «Desiderio di mia Madre è mia legge. Ma anche per Susanna e i parenti verrò. Solo… mi spiace per voi…», e guarda Pietro e gli altri. «Sono i miei amici», spiega al cugino. E li nomina cominciando da Pietro. Per ultimo dice: «e questo è Giovanni», e lo dice in un modo tutto speciale, che attira lo sguardo più attento di Giuda Taddeo e fa arrossire il prediletto. Termina la presentazione dicendo: «Amici, questo è Giuda figlio d’Alfeo, mio fratel cugino, secondo la consuetudine del mondo, perché figlio del fratello dello sposo di mia Madre. Un mio buon amico di lavoro e di vita».

«La mia casa è aperta a te come al Maestro. Siedi»; e poi, rivolto a Gesù, Pietro dice: «E allora? Non verremo più con Te a Gerusalemme?».

«Certo che verrete. Dopo la festa di nozze Io andrò. Soltanto non mi fermerò più a Nazaret».

«Fai bene, Gesù. Perché tua Madre è ospite mia per qualche giorno. È inteso così, e vi verrà Lei pure dopo le nozze». Così dice l’uomo di Cafarnao.

«Così faremo, allora. Ora con la barca di Giuda Io andrò a Tiberiade e di lì a Cana, e con la stessa tornerò a Cafarnao con la Madre e con te. Il giorno dopo il prossimo sabato tu verrai, Simone, se ancora vuoi venire, e andremo a Gerusalemme per la Pasqua».

«Sì che vorrò! Anzi verrò il sabato per udirti alla sinago­ga».

51.3

«Già ammaestri, Gesù?», chiede il Taddeo.

«Sì, cugino».

«E che parole! Ah! non si odono sul labbro d’altri!».

Giuda sospira. Col capo appoggiato alla mano, col gomito puntato sul ginocchio, guarda Gesù e sospira. Pare voglia parlare e non osi.

Gesù lo stuzzica: «Che hai, Giuda? Perché mi guardi e sospiri?».

«Niente».

«No. Niente non è. Non sono più il Gesù che tu amavi? Quello per cui non avevi segreti?».

«Sì, che lo sei! E come mi manchi, Tu, maestro del tuo più anziano cugino…».

«E allora? Parla».

«Volevo dirti… Gesù… sii prudente… hai una Madre… che non ha che Te… Tu vuoi essere un “rabbi” diverso dagli altri e Tu sai, meglio di me, che… che le caste potenti non permettono cose diverse alle consuetudinarie da loro messe. Conosco il tuo modo di pensare… è santo… Ma il mondo non è santo… e opprime i santi… Gesù… Tu sai la sorte di tuo cugino il Battista… È prigione, e se ancor non è morto è perché quel lurido Tetrarca ha paura della folla e del fulmine di Dio. Lurido e superstizioso come crudele e libidinoso. Tu… che farai? A che sorte vuoi andare incontro?».

«Giuda, questo mi chiedi tu che conosci tanto del mio pensiero? Parli di tuo impulso? No. Non mentire! Ti hanno mandato, e non mia Madre certo, a dirmi queste cose…».

Giuda abbassa il capo e tace.

«Parla, cugino».

«Mio padre… e con lui Giuseppe e Simone… sai… per tuo bene… per affetto per Te e Maria… non vedono di buon occhio quello che Tu ti proponi di fare… e… e vorrebbero Tu pensassi a tua Madre…».

51.4

«E tu che pensi?».

«Io… io».

«Tu sei combattuto fra le voci dell’Alto e della Terra. Non dico del Basso. Dico della Terra. Anche Giacomo lo è, più di te ancora. Ma Io vi dico che sopra la Terra è il Cielo, sopra gli interessi del mondo vi è la causa di Dio. Avete bisogno di cambiare modo di pensare. Quando lo saprete fare, sarete perfetti».

«Ma… e tua Madre?».

«Giuda, non c’è che Lei che avrebbe diritto a richiamarmi ai miei doveri di figlio, secondo la luce della Terra: ossia al mio dovere di lavorare per Lei, per sovvenire ai suoi bisogni materiali, al mio dovere di assistenza e conforto con una vicinanza alla Madre. E Lei non mi chiede nulla di questo. Da quando mi ebbe, Ella sa che mi avrebbe perduto, per ritrovarmi in una maniera più vasta di quella del piccolo cerchio della famiglia. E da allora si è preparata a questo. Non è nuova nel suo sangue questa assoluta volontà di donazione a Dio. Sua madre l’ha offerta al Tempio prima che Ella sorridesse alla luce. Ed Ella — me lo ha detto le innumeri volte che, tenendomi contro il suo cuore nelle lunghe sere d’inverno o nelle chiare notti d’estate piene di stelle, mi ha parlato della sua infanzia santa — ed Ella si è data a Dio sin da quelle prime luci della sua alba nel mondo. E più ancora si è data quando mi ebbe, per essere dove Io sono, sulla via della missione che mi viene da Dio. Tutti mi lasceranno in un’ora; magari per pochi minuti, ma la viltà sarà padrona di tutti e penserete che era meglio, per la vostra sicurezza, non avermi mai conosciuto. Ma Lei, che ha compreso e che sa, Lei sarà sempre meco. E voi tornerete ad essere miei per Essa. Con la forza della sua sicura, amorosa fede, Ella vi aspirerà in sé e perciò vi riaspirerà in Me, perché io sono nella Madre ed Ella è in Me, e Noi in Dio. Questo vorrei che comprendeste voi tutti, parenti secondo il mondo, amici e figli secondo il soprannaturale. Tu, e con te gli altri, non sapete chi è mia Madre. Ma, se lo sapeste, non la critichereste in cuor vostro per non sapermi tenere a Lei soggetto, ma la venerereste come l’Amica più intima di Dio, la Potente che tutto può sul cuore dell’Eterno Padre e sul Figlio del suo cuore. Per certo che a Cana verrò. Voglio farla felice. Comprenderete meglio dopo quest’ora».

Gesù è imponente e persuasivo.

Giuda lo guarda attento. Pensa. Dice: «E io pure per certo verrò con Te, insieme a questi, se mi vuoi… perché sento che Tu dici cose giuste. Perdona alla mia cecità e a quella dei fratelli. Sei tanto più santo di noi!…».

«Non ho rancore per chi non mi conosce. Non ne ho neppure per chi mi odia. Ma ne ho dolore per il male che a sé stesso fa.

51.5

Che hai in quella sacca?».

«La veste che tua Madre ti manda. Gran festa, domani. Ella pensa che il suo Gesù ne abbia bisogno per non sfigurare fra gli invitati. Ha filato indefessa dalle prime luci alle estreme, ogni giorno, per prepararti questa veste. Ma non ha ultimato il mantello. Ancor ne mancano le frange. Ne è tutta desolata».

«Non occorre. Andrò con questo, e quello serberò per Gerusalemme. Il Tempio è più ancora di una festa di nozze».

«Ella ne sarà felice».

«Se volete essere all’alba sulla via di Cana, vi conviene partire subito. La luna sorge e sarà buona la traversata», dice Pietro[1].

«Andiamo, allora. Vieni, Giovanni. Ti porto con Me. Simon Pietro, Giacomo, Andrea, addio. Vi attendo la sera di sabato a Cafarnao. Addio, donna. Pace a te e alla tua casa».

Escono Gesù con Giuda e Giovanni. Pietro li segue sino a riva e aiuta l’operazione di partenza della barca.

E la visione ha fine.

51.6

Dice Gesù:

«Quando sarà l’ora di fare un ordinato lavoro, sarà inserita qui la visione delle nozze di Cana. Metti la data (16-1-44)».


Note

  1. dice Pietro è un’aggiunta nostra.