Gli Scritti di Maria Valtorta

227. Un épisode inachevé.

227. Un episodio incompiuto.

227.1

C’est un Judas bien pâle qui descend du char avec Marie et les femmes disciples : les Marie, Jeanne, Elise…

… mais à cause de la confusion qu’il y a eue dans cette maison ce matin, je n’ai pu écrire au moment où j’avais la vision. Par conséquent, maintenant qu’il est 18 h, je peux simplement dire ce que j’ai compris et entendu : Judas convalescent revient auprès de Jésus, qui est à Gethsémani, en compagnie de Marie qui l’a soigné et de Jeanne, qui insiste pour que les femmes et le convalescent repartent en Galilée en char. Jésus accepte et fait monter aussi l’enfant avec elles. En revanche, Jeanne et Elise restent quelques jours à Jérusalem, puis Elise rentrera à Bet-çur et Jeanne à Béther.

Je me souviens qu’Elise a dit :

« Désormais, j’ai le courage d’y retourner parce que ma vie n’est plus sans but. Je te ferai aimer par mes amis. »

Et je me souviens que Jeanne a ajouté :

« J’en ferai autant sur mes terres, tant que Kouza me laisse ici. Ce sera encore te servir, même si je préfèrerais te suivre. »

Je me souviens enfin que Judas disait ne pas avoir éprouvé le désir de la présence de sa mère même aux pires heures de sa maladie parce que, disait-il, “ ta Mère a été une vraie mère pour moi, douce et aimante, et jamais je ne l’oublierai ”.

Le reste est confus (du moins les paroles) ; je n’en rapporte donc rien, car ce serait moi qui parlerais et non les personnages de la vision[1].

[…]

227.1

È un ben pallido Giuda quello che scende dal carro insieme alla Madonna e alle discepole, ossia alle Marie, a Giovanna e a Elisa…

…e in grazia alla confusione che ho avuto in casa questa mattina, non ho potuto scrivere mentre vedevo, e perciò, ora che sono le 18, non posso che dire che ho capito e sentito che Giuda convalescente torna da Gesù, che è al Getsemani, insieme a Maria che lo ha curato e a Giovanna che insiste perché le donne e il convalescente tornino col carro in Galilea. E Gesù aderisce facendo salire anche il bambino con esse. Invece Giovanna con Elisa restano a Gerusalemme per qualche giorno, per poi tornare Elisa a Betsur, Giovanna a Bètér.

Ricordo che Elisa dice: «Ora ho coraggio di tornare là perché la mia vita non è più senza scopo. Ti farò amare dai miei amici». E ricordo che Giovanna aggiunge: «E io lo farò nelle mie terre, finché Cusa mi lascia qui. Sarà servirti ancora benché preferirei seguirti».

Ricordo anche che Giuda dice che non ha desiderato sua madre neppure nelle ore peggiori della malattia, perché «tua Madre fu una vera madre per me, soave e amorosa, e non lo dimenticherò mai», dice.

Il resto è confuso (nelle parole) e perciò non lo dico perché sarebbe detto da me e non dalle persone della visione.[1]

[…].


Notes

  1. vision : sur la copie dactylographiée, Maria Valtorta note : “ Ceci est à supprimer pour ne pas heurter ceux qui ne veulent pas de révélations… ou à laisser s’ils se décident un jour à permettre que l’œuvre soit imprimée dans son intégrité véridique…”

Note

  1. visione, sulla cui copia dattiloscritta MV annota: Questo è da levare per non urtare chi non vuole rivelazioni… o da lasciare se si decideranno mai a concedere che l’opera vada stampata nella sua veritiera integrità…